Le Désir de la Bru
Tout le monde disait qu’Annique avait un bon mari. Francis l'adorait et il la respectait, peut-être un peu trop. Elle aurait aimé qu'il soit un peu plus sauvage avec elle quand ils faisaient l'amour. Mais cela ne s'est jamais produit. Francis a bien baisé Annique, mais il a toujours traité le corps de sa femme avec beaucoup de soin, comme si elle était fragile ou apparentée à la Bienheureuse Vierge Marie. Il pensait que faire l'amour une fois par semaine était amplement suffisant. Pas Annique. Si ça ne tenait qu'à elle, ils baiseraient tous les jours, et les jours où elle était vraiment chaude deux ou trois fois par jour. Francis ne voulait pas non plus expérimenter avec différentes positions sexuelles. Il a trouvé ça "bestial" et irrespectueux envers une femme.
Un soir, Francis parlait de son père Robert. Il a dit qu'il avait beaucoup de respect pour cet homme, mais que son père était un personnage quelque peu intimidant.
"Eh bien, bien sûr qu'il l'est," a répondu Annique, plutôt vivement. "C'est typique pour des pères qui essaient de donner à leurs fils une éducation décente."
Ce n'est pas sans raison qu'Annique a eu cette réaction vive. Elle l'a dit alors qu'elle et Francis étaient allongés dans leur lit, prêts pour une autre nuit de Netflix pour les endormir.
“Je veux dire, mon père a plutôt bien réussi quand il avait entre vingt et trente ans. Je te l'ai dit, n'est-ce pas?” a dit Francis.
“Le succès avec les femmes? Pouvait-il baiser qui il voulait? Tu veux dire ça?" a demandé Annique avec mépris.
“Non, je n'en sais rien. Il ne m'en a jamais parlé. À Liège, il a développé une belle entreprise en quelques années. Il avait un gros commerce près du Quai de la Batte. Il vendait des meubles d'occasion, pas de vieux bric-à-brac, mais des meubles solides avec classe.
"'Mais il a tout perdu, tu me l'as dit aussi."
“Oui, tout ce pour quoi il avait tant travaillé est parti en fumée avec l'escroquerie de Lernout et Hauspie. Pas seulement cela: mon père est un rêveur. Il imagine qu'il peut devenir un poète célèbre, quelqu'un comme Jacques Prévert. Malheureusement, ses poèmes sont trop banals, de vrais vers caramels qui n'intéressent aucun éditeur. Par conséquent, il ne consacrait plus assez de temps à son entreprise, ce qui, avec ses investissements insensés, a conduit à la faillite de son entreprise. Ses créanciers le poursuivaient. Il a ensuite fait toutes sortes de petits boulots, en noir. Pas ses meilleurs moments.”
"Qu'importe? Il a l'air d'être retombé sur ses pieds... Au moins, grâce à lui tu n'es pas si snob comme il y en a trop à Namur."
“Peut-être pas, non. Quelque chose d’autre maintenant: mon père cherche un logement. Ils l'ont expulsé de son appartement du boulevard d'Avroy à Liège. Tu sais que je veux l'aider, même si… ce serait bien de vivre quelque part sans colocataires.” a marmonné Francis.
"Tu lui as promis qu'il pourrait emménager avec nous?" Annique l’a demandé anxieusement.
"Non, pas du tout, mais j'ai dit qu'il pouvait venir ici pour quelques jours ce week-end."
Ce que son mari voulait dire n'était pas très clair pour Annique. Il était de nouveau dans une de ces humeurs. Annique a soupiré. Chaque fois qu'il parlait de son père, Francis était une personne complètement différente. Lui-même n'avait jamais perdu une petite fortune du jour au lendemain, pourtant il n'arrêtait pas de rejouer le malheur de son père dans sa tête.
“Détendons-nous un peu,” dit Annique en se blottissant contre son mari dans son lit. “Comme d'habitude, le temps nous le dira. On passera le week-end avec ton père. Après tout, ce n'est que deux jours."
Francis ne dit pas un mot, mais il s’est penché suffisamment vers Annique pour poser son menton sur sa tête. Elle aurait pu soupirer de soulagement. Elle aurait aimé que Francis la caresse et l'embrasse, puis lui fasse l'amour… Mais cela ne s’est pas produit. Son mari n'était pas intéressé ou d'humeur pour ça. Annique a senti sa chatte se mouiller à force de vouloir se faire baiser, mais elle n'a pas insisté. Elle savait ce qui se passait, car elle en avait l’habitude, et au moins ils étaient de retour en terrain sûr.
Mais qu'apporterait le week-end? Le père de Francis habitait toujours à Liège, mais sa présence se sentait beaucoup plus proche que d'habitude. Robert Poupelard n'avait plus de voiture. Celle-ci avait été confisquée par l'huissier il y a quelque temps. Le samedi matin, ils devaient aller le chercher Boulevard d'Avroy.
Pendant le trajet de Namur à Liège, ils étaient tous les deux nerveux. Francis était si à l'étroit que ses doigts étaient serrés sur le volant et que ses jointures étaient blanches. Annique n'a même pas essayé d'entamer une conversation, mais a plutôt laissé l'une de ses listes de musique préférées qu'elle avait composée elle-même remplir le silence . "Hommes Tranquilles" était le titre qu'elle avait donné à ce CD. Lorsqu'ils se sont arrêtés à l'immeuble du Boulevard d'Avroy, Annique se croyait bien préparée à la confrontation avec Robert Poupelard. Elle était une femme sexy avec une libido bien développée, elle le savait d'elle-même, mais ce n'était pas le genre de fille que les mecs emmènent habituellement quelque part pour la baiser fort.
Annique portait une jolie robe de Bent et elle pensait que son maquillage était parfait. Mais un frisson l’a parcourue lorsqu'elle a vu l'homme qui attendait devant la porte de l'immeuble. Robert… Elle le connaissait et il ne la laissait pas indifférente. Peu de mots ont été échangés. Robert a attendu près de la voiture qu'Annique en sorte. Il s'est assis à côté de son fils, et Annique a dû s'asseoir sur la banquette arrière. Pendant le trajet de Liège à Namur, Annique a à peine parlé. La conversation entre Francis et Robert était également très limitée et superficielle. Il y avait une certaine tension dans la voiture qui rendait Annique nauséabonde.
Arrivés à Namur, François dit à son père :
"Je vais monter tes bagages à l'étage."
Robert a hoché la tête sans dire un mot. Lui et Francis ont seulement échangé un signe de tête avant que Francis ne procède au déchargement des bagages de la voiture. Robert a déballé ses affaires dans la chambre qui lui était assignée et s'y est installé.
A deux heures de l'après-midi, Francis devait partir jouer un match avec les réserves de l'Entente Sportive Boninne contre ceux du FC Naninne. Annique est restée seule avec son beau-père Robert Poupelard. Elle est redevenue nerveuse. Dans l'appartement, il y avait une tension dans l'air qui la rendait presque folle et l'empêchait de respirer normalement. Annique ne pouvait pas rester dans le salon. Elle était trop excitée pour ça. La présence de son beau-père lui pesait. Soudain, elle a décidé qu'elle devait le confronter et avoir une conversation sérieuse avec Robert. Elle a préparé une tasse de café et s’est dirigée résolument vers la chambre de Robert. Lui n'était pas exactement surpris de voir sa belle-fille se présenter. Il lui sourit depuis le fauteuil club à côté du lit. Dans ce fauteuil, il était allongé légèrement en arrière, une jambe sur l'accoudoir. Il avait déboutonné sa chemise aux manches retroussées pour qu'Annique puisse voir son torse nu. Dans sa main, Robert avait un verre presque vide. Le repos de l'après-midi, l'odeur d'un homme dans la petite chambre… Annique se sentait molle sur les jambes. Une vague chaude la traversait, une vague qui préfigurait que quelque chose d'inévitable devait lui arriver… Elle était prête, et elle voulait se laisser emporter.
Elle a regardé le lit, puis Robert. Son regard lui en disait assez. Son beau-père a posé son verre. Annique s’est mentalement préparée à ce qui devait arriver. Elle a entendu le cuir du fauteuil club craquer sous la pression de son corps alors que Poupelard se levait. Robert s'est approché d'elle et lui a caressé doucement la joue du bord d'une main, tandis qu'il traçait légèrement la forme de ses fesses de l'autre. Pupilles ouvertes, impressions vives en sont résultées chez Annique. Tout ce que faisait son beau-père faisait d'elle une femme prête à l'amour. Elle a penché le cou et levé la tête. Son esprit résonnait dans la chambre, ses sens étaient aiguisés et affamés. Elle voulait que Robert la couche sur le lit et prenne possession de son corps. Son beau-père n'a pas attendu, comme s'il avait lu dans les pensées de sa bru…
Après, Annique ne se souvenait plus exactement comment ils s'étaient tous les deux déshabillés. Robert l'avait-il déshabillée, lui avait-elle fait la même chose ? C'était pour elle cet après-midi comme si le monde entier flottait sur un radeau. Elle était allongée nue sur le dos sur le lit. Ses jambes pendaient sur le côté. Robert était à genoux devant elle, la tête entre les jambes écartées de sa bru. Il a honoré la féminité d’Annique en léchant et en suçant son clitoris pendant que ses mains caressaient aveuglément ses seins. La peau d'Annique est devenue moite, et la vague désordonnée de désir et de nostalgie de son beau-père l'envahit. Elle le sentait comme la fraîcheur d'une cascade, une provocation... Elle se réjouissait de sa proie, à portée de ses yeux. Elle admirait la peau pâle de son beau-père, son pénis en érection visant avec envie sa chatte. Et ce qu'Annique désirait tant s'est produit. Robert s'est relevé, est venu au bord du lit et a enfoncé sa bite gonflée dans la chatte trempée de sa belle-fille. Annique aurait tellement aimé qu'il se couche sur elle et qu'elle sente son beau-père peser sur elle… Mais cela n'est pas arrivé. Robert avait-il peur d’abîmer le corps délicat sa bru ? Ou pensait-il à son fils Francis et ne voulait-il pas imiter son attitude missionnaire en baisant Annique? Cela n'avait pas vraiment d'importance. Même si Robert a baisé sa belle-fille dans cette position peu commune , leur expérience amoureuse a été un miracle, un prodige sensuel du hasard... Pour Robert Poupelard, c'était une belle expérience de faire l'amour avec sa magnifique belle-fille. Non seulement le plaisir sensuel qu'il avait en étant autorisé à bouger sa bite raide dans le tunnel d'amour de sa bru a joué un rôle. Il ne pouvait détacher les yeux de sa beauté dans cette situation unique… Des ombres tombaient sur les courbes d'Annique, il y avait le dégradé en clair-obscur de sa peau bronzée sculptée de plis de satin, la perfection des lignes, le galbe de ses épaules, la divine nudité de ses seins paradisiaques et de ses hanches qu'elle soulevait pour sentir les coups puissants de la bite de Robert plus profondément dans sa chatte. Annique a incliné la tête. Sur son visage, il y avait un sourire confiant, Robert y voyait un mélange de son innocence, de sa luxure et du plaisir pécheur qu'elle avait avec son adultère.
Il n'y avait plus rien à dire. Annique entendait son cœur battre dans ses tempes, et une musique sauvage a fait trembler son corps alors que son orgasme est arrivé violemment. Elle tremblait comme une feuille verte dans le vent, elle a crié son plaisir et a hurlé sauvagement. Robert a tenu bon un moment avant d'avoir lui aussi son orgasme et de pomper son sperme au plus profond de la foune de sa bru. Son orgasme n'était pas aussi violent que celui d'Annique. Il était plus âgé et ses sens s’étaient déjà quelque peu estompés. Alors que Robert lui avait déjà injecté son sperme dans la chatte, Annique a tiré son beau-père sur elle. Enlacés, ils ont continué à s'étreindre, s'embrasser et se caresser. Annique se sentait bien. Alors que le sperme de Robert refluait lentement d’entre ses lèvres génitales sur ses cuisses, Annique s’est mise à réfléchir. Comment saurait-elle convaincre son mari Francis de laisser son père vivre avec eux en permanence sans qu’elle ne lui trahisse ses vraies intentions?
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Submitted: October 03, 2022
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