Le Charme de Frank Braque

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Status: Finished  |  Genre: Adult Romance  |  House: Booksiesilk Classic Group

Frank Braque fait des études d'actuariat à l'Université Libre de Bruxelles. Grâce a son charme qui se cache dans son caleçon, il est contacté par un étudiant en médecine flamand pour mettre sur pied une collaboration commerciale lucrative. Après avoir hésité un peu, Frank Braque accepte la proposition de Dirk Peetermans.

Le Charme de Frank Braque

 

Lorsque Frank Braque étudiait à l'Athénée Royal d'Ixelles, il s'est rapidement avéré qu'il avait un certain talent pour les mathématiques, mais pas vraiment pour les langues. Après ses études secondaires, il est allé à l’ULB, l'Université Libre de Bruxelles. Il y a fait une maîtrise en sciences actuarielles et financières. Ainsi, Braque a acquis une connaissance approfondie des techniques quantitatives. Celles-ci permettent d'analyser les problématiques actuelles du monde actuariel et financier et de proposer des solutions.

 

Mais à l'Université Libre de Bruxelles, Frank Braque a fait plus que des études. Il n'était pas un vrai prince-étudiant ou un buveur du tout. Néanmoins, Braque était assez sociable et aimait s'impliquer dans la vie estudiantine.

Un soir, Frank a rencontré un étudiant en médecine au café “Le Gauguin” sur la Chaussée de Boondael. Ce futur médecin prétendait avoir déjà entendu parler de Braque. Frank était étonné et, bien sûr, il a demandé des explications supplémentaires. Dirk Peetermans était un étudiant flamand d'Anvers. Il a répondu en riant qu'il avait entendu dire par une fille qu'une autre que Frank avait baisée n’avait plus su bien marcher pendant quelques jours. Frank Braque avait couché quelques fois avec une certaine Vicky, étudiante en Langues Classiques. Selon Dirk Peetermans, cette fille avait fait "beaucoup de publicité" à Frank.

 

Frank Braque a immédiatement su qui était cette fille et ce qu'elle avait probablement raconté à ses amies. Il avait baisé Vicky dans sa chambre, parfois jusqu'à trois fois en une journée. La seule position dans laquelle elle voulait qu'il ait des relations sexuelles avec elle était celle du missionnaire. Ainsi, Vicky pouvait ouvrir ses jambes très largement pour ne pas être blessée alors que Frank lui enfonçait sa grosse bite gonflée dans la chatte. Après tout, même si Frank Braque n'était pas grand et qu'on ne le lui donnerait pas, dans son caleçon il était pour le moins “bien pendu”. Pour le dire crûment : il avait une grosse bite aux proportions exceptionnelles entre les jambes.

Ses frasques sexuelles avec Vicky Thoulain n'ont pas duré. La sauter est devenu trop fastidieux pour lui parce qu'elle voulait toujours qu'il rampe sur elle et qu’il lui fasse l’amour de manière traditionnelle. Frank voulait un peu de variété de toute façon, et il l'a dit à Vicky. Ainsi, l'activité sexuelle entre Frank Braque et Vicky Thoulain s'est détériorée. Elle s'est terminée après qu'ils avaient eu une conversation sérieuse. La rupture ne dérangeait pas Frank, et Vicky non plus. Entre-temps, elle avait déjà acquis de l'expérience à quelques reprises avec un étudiant en Droit plus normal quant à son organe sexuel, et qui aimait aussi se déguiser en empereur romain pour faire l’amour...

 

Il s'est avéré que la rencontre avec l'étudiant en médecine au café Le Gauguin n'était pas un hasard. Dirk Peetermans cherchait Frank Braque depuis des jours et des jours avec l'intention de le rencontrer et de lui faire une proposition commerciale lucrative. Peetermans était le fils d'un concierge qui, avec sa femme, s'occupait de la villa de riches négociants en diamants à Brasschaat, une banlieue d'Anvers. Ses parents n'avaient pas beaucoup d'argent. Dirk a dit à Frank qu'il pouvait payer une partie de ses études de médecine à la VUB en montrant son pénis. Quelque part dans une arrière-salle de café, des étudiants, et surtout des étudiantes, se rassemblaient. Ils devaient payer à Dirk cinq euros par personne pour voir sa bite. S'il y avait moins de dix candidats, sa bite restait dans son caleçon. Dirk ne donnait pas de “représentation” pour moins de cinquante euros.

 

Maintenant, Dirk aurait aimé que lui et Frank deviennent partenaires. Cela pourrait être une bonne affaire et rentable pour les deux, a affirmé Dirk, et une excellente manière de faire des touches avec les filles.

Cela semblait excitant et Frank était intéressé. C'est ce qu'il a dit au futur médecin, mais il hésitait encore. Ce que Dirk voulait faire ensemble avec lui faisait penser à une attraction foraine, comme il y en avait dans les kermesses.

 

Dirk a balayé les soucis de Frank. Pour s'assurer que leur entreprise n'échoue pas, il a d'abord voulu voir le pénis de Frank. S'il n'était pas à la hauteur de ce qu'il avait entendu, cela ne valait pas la peine d'unir leurs forces. Braque n'avait rien contre, à condition que Peetermans montre également ses organes génitaux.

 

C'est arrivé. Comme deux petits garçons, ils se sont montré leurs bites et leurs couilles. Peetermans avait aussi un sexe impressionnant, pas aussi long que celui de Braque, mais quand il était en érection, sa tête était plus grosse que celle de Frank. En tout cas, les pénis des deux étudiants étaient complètement en dehors des tailles habituelles. Celui du Bruxellois était fort long, celui de l’Anversois était d’environ un centimètre plus court mais il avait un diamètre légèrement plus grand.

 

Il y a encore une chose que je dois te dire avant que tu ne prennes une décision finale sur l'opportunité de me rejoindre." a dit Peetermans.

 

Tu n'attends rien de pervers de ma part, n'est-ce pas ?” a demandé Braque. “Et pas de bestialités non plus, j'espère? Dans ce cas, cherche quelqu'un d'autre.”

 

Non, non, absolument pas!” a dit Dirk avec indignation. “Il s'agit de représentations privées.”

 

Qu'est-ce que ces représentations privées signifient alors?” voulait savoir Frank.

 

Eh bien, il y a des filles qui n'aiment pas montrer leur intérêt pour ma bite en public. Pourquoi? Surtout d'un point de vue psychologique. Elles n'aiment pas montrer aux autres que la bite d'un homme les intéresse et les excite. Elles ont trop honte pour ça, même si c'est hypocrite. Parfois, il y a aussi une raison religieuse, généralement avec des étudiantes immigrées. Quoi qu'il en soit, après notre représentation publique, tu seras probablement contacté pour montrer le charme de ton anatomie à une fille en privé, parfois à deux ou trois si elles sont bonnes amies. Veuille t’en tenir à mon tarif: par fille, dix euros pour regarder ta bite en privé pendant cinq minutes, et après cela, à un euro par minute supplémentaire. Si elles veulent caresser ton zizi pour le faire tenir debout, ça coûte encore vingt euros par fille. Même si elles sont deux ou trois, tu demandes vingt euros à chacune, n’importe si seulement une ou toutes ont collé leurs mains chaudes sur ta bite et tes couilles. Encore une fois, il y a un temps limité: cinq minutes et pas plus, même si elles veulent payer un supplément. Et puis il y a quelque chose d'un peu plus délicat..."

 

Qu'est-ce que cela pourrait être?” voulait savoir Frank Braque.

 

Eh bien, parfois après avoir regardé et palpé ton organe, certaines filles veulent aller plus loin. Parfois, une fille peut vouloir te masturber. C'est possible avec moi, mais si toi, tu ne veux pas… c'est à toi de décider."

Combien tu demandes pour te faire masturber par une fille?” a demandé Braque avec curiosité.

Trente euros, mais pas à toutes. Si j'aime la fille, elle peut me branler pour moins cher, mais quinze euros, c'est le minimum.”

Dis-moi, Dirk, lors d'une telle séance privée, arrive-t-il qu'une fille veuille se faire baiser par toi?”

Oui, Frank. Cela se produit dans environ un tiers des cas. Après que certaines ont vu ce que j'ai à offrir, elles veulent essayer la marchandise."

Et combien cela leur coûte?”

Rien. Je ne demande pas d'argent pour ça. Je ne suis pas un gigolo, je t’assure. Remarque, je la baise seulement si elle est sexy et qu'elle aimerait vraiment que je la défonce.”

Frank Braque était d'accord sur le principe avec la proposition de Dirk Peetermans. Ensemble, Frank et Dirk ont fait fureur dans la communauté étudiante bruxelloise alors qu'ils étudiaient encore à l’ULB et la VUB. Braque n'avait jamais vraiment tenu de statistiques, mais selon ses propres estimations, il y avait environ cinq cents étudiants, dont plus de la moitié étaient des filles, qui étaient venus regarder sa bite dans les arrière-salles des cafés d’étudiants, moyennant payement.

Cela ne s'est pas arrêté là, comme l'avait prédit son compagnon Dirk Peetermans. Par ses performances, au fil des années où il avait étudié pour devenir actuaire, il avait appris à “mieux connaître” un assez grand nombre d'étudiantes, soit qu'il les laisse le masturber pour de l'argent, soit qu'il couche avec elles, gratuitement.

Sa vie étudiante lucrative, hédoniste et très particulière ne pouvait durer. Un jour de juin, le moment est arrivé: Frank Braque a obtenu son diplôme universitaire d'actuaire, et contre toute attente, avec distinction. Il a assez facilement trouvé un emploi une fois son diplôme en poche, il y a bientôt onze ans maintenant. Dans la ville natale de sa mère, Wavre, il a été recruté par l'agence de conseil "Vandermeeren, Delaruelle & Partenaires". Mais au bout de six mois, Frank a découvert que le travail qu'il devait y faire offrait trop peu de variation et était même parfois abrutissant. C'est l'une des raisons pour lesquelles il a démissionné de VD&P. Une autre raison était certainement au moins aussi importante: Braque aspirait à nouveau à l'atmosphère de liberté et d'insouciance qu'il avait connue à Bruxelles pendant ses études.

Frank Braque a ainsi fini comme actuaire chez Matrix Life Insurance, une compagnie américaine spécialisée dans l'assurance-vie. Il y avait une succursale belge au quartier européen de la ville, dans la Rue Archimède, non loin de l'immeuble Berlaymont. Ces polices d'assurance-vie n'étaient destinées qu'à des personnes fortunées ou avec des revenus fort élevés qui pouvaient payer chaque année des primes astronomiques. Il s'agissait généralement d'expatriés, de hauts fonctionnaires européens, de diplomates d'ambassades étrangères et d'hommes d'affaires étrangers qui avaient choisi Bruxelles comme base d'opérations. Certains Belges étaient également assurés auprès de Matrix Life Insurance, mais ils n'étaient pas nombreux. La plupart appartenaient également à des familles aisées, actives dans le monde des affaires.

Frank Braque avait enfin trouvé sa destination chez Matrix Life Insurance. En tant que membre de l'équipe de direction, il accomplirait désormais un travail important, glissant peu à peu, comme tant d'autres étudiants rebelles et noctambules dans la fleur de l'âge, vers une existence bourgeoise tranquille. C'est du moins ce que pensait Frank Braque, mais cela s'est avéré un peu différent...

© Rubor Quercus 2022

 


Submitted: March 18, 2022

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