Manuela, chaude Nourrice
Short Story by: Robur Quercus
Reads: 259 | Likes: 0 | Shelves: 0 | Comments: 0
Manuela, chaude Nourrice
L’une des premières femmes adultes que j'ai baisées s'appelait Manuela. Elle était plus âgée que moi, de neuf ans. Même si elle n’était pas très grande et assez trapue, elle était toute belle.
Elle touchait une allocation chômage, mais elle était aussi nourrice. Avant de la rencontrer, je n'avais aucune idée de ce qu'était une nourrice. Je ne savais même pas qu'il y avait une telle occupation.
Manuela et sa famille étaient venues de Bruxelles, mais ils étaient d'origine espagnole, de la région de Burgos. Toute sa famille, son père veuf, son mari, ses trois frères et Conchita, une sœur, tous ensemble ils habitaient dans la même maison à la Vieille Voie de Tongres, près du cimetière de Sainte-Walburge. Les gens du voisinage disaient qu'ils étaient gitans et que le mari de Manuela, son père et ses trois frères faisaient l’amour avec elle et sa sœur Conchita à tour de rôle, mais ce n'était pas vrai. Manuela me l'a dit. Elle a affirmé que seul son mari la baisait, mais pas assez souvent à son goût. Quoi que les gens à Saint-Walburge disent de ces soi-disant “gitans”, je m'en fichais à l'époque…
Comment j’ai fait la connaissance de Manuela? L'année précédente, une de mes cousines avait dû épouser un professeur d’Angleur, car cet homme l’avait baisée sur le siège arrière de sa voiture sans préservatif, et elle ne s’était pas protégée non plus. Ils se sont ensuite mariés à la hâte et ont emménagé dans une maison à Hovémont que mes parents avaient achetée quelques années auparavant.
Lorsque ma cousine a eu son enfant, un petit garçon qu’ils ont nommé Cyrille, elle voulait le nourrir naturellement de ses propres seins, mais elle ne produisait pas assez de lait. De plus, elle devait se rendre à Namur quatre jours par semaine pour y travailler en tant qu'employée administrative au Parlement Wallon. Elle a donc fait appel à Manuela parce que celle-ci avait une fille qui n'avait que cinq mois de plus que Cyrille. Nadya se faisait payer pour allaiter des enfants autres que le sien.
Ma cousine déposait son enfant à la Vieille Voie de Tongres quatre matins par semaine. Elle et son mari ne revenaient chez eux que vers six heures du soir. Alors, elle m'a demandé d’aller chercher son bébé chez Manuela et de le garder chez nous jusqu’à ce qu’elle ou son mari vienne le chercher.
C’est ce que j’ai fait. J'allais récupérer le petit Cyrille après quatre heures et demie.
Quand c'est arrivé pour la première fois, Manuela allaitait Cyrille pour la dernière fois de la journée. Sa sœur Conchita était là avec elle. Malgré ma présence, aucune des deux sœurs n’était gênée. Manuela ne m’a pas caché ses tettes parce que je la regardais faire. Elle avait libéré ses seins de son soutien-gorge d'allaitement spécial. Ses nichons étaient vraiment impressionnants, grands, lisses, ronds, avec un téton un peu basané. Peut-être étaient-ils si beaux parce qu'ils étaient pleins de lait, ai-je pensé à l'époque. J'ai eu une énorme érection quand j'ai vu ces belles tettes. Manuela l'avait remarqué, mais n'en a rien dit la première fois. D’ailleurs, sa sœur Conchita l’avait vu aussi, c’est ce que j’ai appris d’elle quelques mois plus tard.
Le lendemain, Conchita n’était plus là, et Manuela n’avait plus mis son soutien-gorge spécial. A la place, elle avait mis une ample blouse dont sortaient ses nichons. A-t-elle fait ça exprès, pour m’exciter? De toute façon, rebelote, c'était encore la même chose: une énorme érection. J'ai essayé de cacher ma bite dure entre mes cuisses serrées. Je ne savais pas vraiment le faire comme je voulais. Manuela l'avait vu et elle s’est mise à ricaner. Elle s'est levée et a mis Cyrille dans sa poussette. Puis, elle a sorti ses seins nus de sa blouse et me les a présentés.
"Tu veux me baiser?" a-t-elle demandé, un sourire sur le visage.
J'étais abasourdi et je ne savais pas quoi lui répondre. Elle est venue vers moi et sans se gêner elle a attrapé ma bite raide entre mes jambes.
"Vas-y, ne sois pas timide," dit-elle en riant. “J'ai aussi envie d’une bonne baise par un charmant jeune homme comme toi. Je suis sûre que ça me fera du bien. J'ai un bon mari, mais il ne passe pas assez de temps à me niquer. De plus, cela peut maintenant se faire sans problème. Tant que j'allaite, je ne peux pas tomber enceinte."
La première fois que Manuela et moi avons fait l’amour, nous étions debout, elle le dos appuyé au mur. Avant de commencer de baiser, Manuela m'a averti:
“N'essaie pas de me faire mouiller en jouant avec mes seins. Maintenant que j'allaite, ils sont extrêmement sensibles. Tu peux sucer mes tétons si tu veux, comme ton petit neveu, mais vas-y mollo, je t’en prie."
Je faisais au moins dix centimètres de plus qu'elle et je devais plier mes genoux à chaque fois que je poussais ma bite dans son trou de baise. Sa chatte a peu à peu enflé et Manuela est devenue fort humide entre ses jambes.
Sa foune trempée était toute molle à l'intérieur et très chaude. Elle ne serrait pas vraiment ma bite raide. On aurait dit que je bougeais avec ma queue dans un semblant de pâte molle en niquant la nourrice. Manuela m'a dit plus tard qu'elle avait déjà trois enfants, donc elle n'avait plus un “jeune chaton” entre ses jambes. Cela ne m'a jamais dérangé, je dois dire. J'étais content qu'elle me permette de la baiser.
Cette première fois que j’ai sauté Manuela, après seulement quelques minutes, j'ai giclé mon sperme dans sa chatte chaude et toute mouillée. Elle n'était pas déçue que je ne l'aie pas amenée à l'orgasme.
Cela s'est bien produit les fois suivantes, mais pas à chaque fois. Pour cela, nous ne l’avons plus fait debout, mais nous nous asseyions sur une chaise, elle sur mes genoux, ou nous nous couchions sur le petit canapé. Cette dernière position était un peu difficile, car mes jambes trouvaient en fait peu de soutien lorsque je m'allongeais sur Manuela pendant que je la baisais. Je ne pouvais pas enfoncer ma bite assez fort et profondément dans sa chatte. Et fort, elle aimait ça, plus je frappais profond dans sa foune de mon braquemart, mieux elle l'aimait.
Mais quand même, après cette première fois où j’étais venu trop vite, je me suis si bien maîtrisé que j'ai su lui donner un orgasme, presque à chaque fois. Il était remarquable que plus Manuela se rapprochait de son orgasme, plus elle transpirait. Parfois, la sueur coulait sur ses seins. Je ne sais pas pourquoi.
Alors que je frottais lentement son point G dans la chatte de Manuela avec mon gland gonflé et durci, elle gémissait de pur plaisir. Il ne lui fallait pas longtemps pour atteindre l'orgasme.
Un jour, Manuela m'a demandé si je voulais sucer ses tétons. Cela lui donnait vraiment une envie folle de baiser, dit-elle. Je l'ai fait, mais cela m'a déçu. J'ai eu ce lait maternel tiède dans ma bouche, un liquide dense légèrement sucré et collant que je n'aimais pas vraiment. Sucer ses tétons, cela n'est arrivé qu'une seule fois.
Quelques semaines après, Cyrille a eu une diarrhée. Il a perdu du poids. Ma cousine a paniqué. Elle a emmené son enfant chez un pédiatre. Le diagnostic de ce médecin était que la diarrhée était probablement causée par l'allaitement de Cyrille. Par conséquent, ma cousine n'a plus jugé approprié de faire téter son petit les tettes de Manuela.
Celle-ci n'a pas aimé quand elle a entendu pourquoi elle n'était plus autorisée à allaiter Cyrille. Cela l’a même vexée à tel point que la situation l’a complètement coupée de moi. Quand je la rencontrais lorsqu’elle allait faire des courses ou chercher ses enfants à l’école, Manuela ne m'a même plus regardé…
Ce n’est que des mois après, grâce à mes contacts avec Conchita, que Manuela a daigné à nouveau me parler…
© Robur Quercus 2022
Submitted: March 14, 2022
© Copyright 2023 Robur Quercus. All rights reserved.
Boosted Content from Premium Members
Short Story / General Erotica
Short Story / Adult Romance
Poem / BDSM
Other Content by Robur Quercus
Short Story / Adult Romance
Short Story / Adult Romance
Short Story / Adult Romance