L'Offre de Tante Prudence

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Status: Finished  |  Genre: Adult Romance  |  House: Booksiesilk Classic Group

Vic aurait tellement aimé faire l'amour à sa petite amie, mais celle-ci a plusieurs arguments pour le lui refuser. A sa grande surprise, une solution pour satisfaire à ses besoins sexuels se présente à Vic sans qu'il s'y attende...

L’offre de Tante Prudence

 

Depuis que Cynthia m’avait laissé jouer avec ses tettes, quelque petites qu’elles soient, je ne la laissais plus tranquille. J’avais bien vu qu’elle avait abondamment mouillé quand j’avais pris ses tétons dans ma bouche et les avais sucés. Donc, je savais qu’elle aussi avait envie de baiser. Elle m’avait refusé de se laisser faire. Même, elle n’avait pas voulu me montrer sa chatte. Je dois dire qu’elle, de son côté, n’avait pas montré le moindre intérêt pour voir ma bite.

Au moment opportun” je pourrais la niquer. Cela, elle me l’avait promis. Quand? Je le lui avais demandé plus d’une fois. Cynthia m’avait toujours des réponses très vagues comme:

 

Quand je me sentirai prête.”

Quand nous serons plus matures.”

Quand je ne cours pas le risque que tu me rendes enceinte.”

Quand tu feras patience, tu verras bien…”

 

Toutes des excuses insipides et de vagues paroles en l’air, bien sûr. Je ne savais pas ce que je devais en penser. Peut-être tiendrait-elle parole, peut-être pas.

J’ai été méchant avec elle, je dois l’admettre. Pour la convaincre, j’ai dit:

 

Bien, tu fais ce que tu veux. Il y en a qui m’aguichent. Avec elles, je suis sûr que je n’aurai pas de problème pour les sauter. Je n’ai qu’à le leur demander.”

 

Cynthia était curieuse, et un peu inquiète aussi. Je pouvais lire ça sur son visage.

 

Qui alors?” m’a-t-elle demandé. “Des filles qui sont également à notre école?”

 

Ce n’est pas de tes affaires,” lui ai-je répondu. “Tu ne penses quand même pas que je vais te dire leurs noms? Tu serais bien capable d’aller les trouver pour les harceler. De pure jalousie!”

 

Ce que j’avais dit n’était pas vrai du tout. En ce temps-là, j’étais un garçon trop petit pour mon âge, et en plus, trop gros et pas attractif du tout. En plus, j'étais trop timide pour oser accoster une belle fille et lui demander si je pouvais la baiser. La seule à qui je demandais ça était Cinthia parce que je la connaissais mieux et qu’elle me laissait jouer avec ses tettes nues.

 

J'aurais pu le savoir. Cynthia n'avait pas gardé sa bouche fermée. J'ai immédiatement entendu cela de ma sœur Flo à qui Cynthia avait parlé de ses soucis que je la trompe avec une autre fille. Après qu’elle m’avait permis de jouer avec ses petits seins nus pour la énième fois, mais rien de plus, Cynthia avait mis ma sœur au courant. Ma petite amie ne s’était pas tue pour Flo, d’accord. Ça ne me dérangeait pas. Flo, de son côté, n’avait pas honte du tout de me raconter ses ébats sexuels dans le détail.

Mais maintenant, il s'est avéré que Cynthia avait également raconté à sa mère tout ce que nous avions fait. Est-ce parce que sa mère l'avait interrogée après qu'elle nous avait surpris quand descendions les escaliers, venant de la chambre de Cynthia? Ou était-ce parce que Cynthia disait toujours tout à sa mère?

Cela n'avait pas d'importance. Le mal était fait.

 

C'était un mercredi après-midi. Sur les conseils de ma sœur Flo, j'étais parti en vélo pour la première fois au club de Jeunes de Bois-de-Breux dans la Rue de Herve. Flo m’avait affirmé que de nombreuses filles chaudes venaient là et qu'il ne me serait pas difficile d'en draguer une. Elle a également dit que derrière le bâtiment du club de jeunes, il y avait un petit parc et également un terrain vague avec de l'herbe très haute. Selon Flo, les filles qui venaient au club s’y faisaient baiser, couchées dans l’herbe. Il y avait des préservatifs utilisés dans ce pré presque tous les deux mètres, ainsi vous saviez assez.

Si Flo elle-même s’était également allongée dans l'herbe longue les jambes ouvertes, je ne le lui ai pas demandé. Comme je la connaissais, elle l'aurait fait plus d'une fois.

 

De toute façon, j'ai eu de la malchance cet après-midi. Il y avait peu de visiteurs dans le club et très peu de filles. De plus, les jeunes qui étaient là étaient tous des gars et des filles plus âgés que moi. En tant que garçon petit et gros, j’y faisais mauvaise figure. Il n'y avait pas une seule fille qui s'intéressait à moi le moins du monde. Cela changerait plus tard, mais cet après-midi-là, je suis parti bredouille du club de Bois-de-Breux.

Avec un sentiment de frustration, je suis rentré chez moi. En chemin, j'ai changé d'avis. J'ai fait un détour, vers la Rue des Coquelicots à Bruyère, dans le vague espoir de voir Cynthia. Je n'ai pas vu ma petite amie quand j'étais presque arrivé à la villa. Une autre femme était bien là, mais ce n’était pas sa mère. Elle déchargeait du matériel de tennis du coffre de sa voiture.

J'ai immédiatement voulu rebrousser chemin, mais il était trop tard. La dame m'avait vu arriver. D'un large geste du bras, elle m'a fait signe que je devais venir vers elle. Non pas que la peur m’ait fait transpirer, pas ça, mais j'étais inquiet de ce qui pourrait suivre.

En fait, je n'avais aucune raison d'avoir peur. La connaissance de Cynthia m'a gentiment souri. Elle s’est présentée:

 

Bonjour, Victor! C’est comme ça que tu t’appelles, n’est-ce pas? Mais ceux qui te connaissent mieux disent “Vic” m’a dit Cynthia. Je suis une des tantes de ta petite amie, en fait la sœur cadette de sa mère. Je m’appelle Prudence.”

 

Ensuite, elle m'a invité à entrer dans la villa.

 

"Cynthia n'est pas là," a-t-elle dit. “Elle s’entraîne au tennis. Peut-être que nous pouvons profiter de l'occasion pour apprendre à mieux nous connaître. Veux-tu quelque chose à boire?"

 

Je voulais bien.

 

Alors, nous irons chez moi,” a dit la tante Prudence. “J’habite au coin de la Rue de Pilzen et de la Rue Crahay. C’est à un peu plus d’un kilomètre d’ici. Tu sais où c’est?”

 

Je le savais bien, car un de mes copains de classe habitait aussi dans la Rue de Pilzen à Bruyère.

 

"Viens me visiter chez moi," a dit la tante Prudence. “Nous nous installerons confortablement sous ma pergola, où nous pourrons parler et apprendre à mieux nous connaître. Je vais déjà rentrer chez moi. Tu verras ma voiture dans la rue devant ma maison. Ainsi, tu sauras où j’habite.”

 

J'ai trouvé cette maison facilement. D’ailleurs, tante Prudence m'attendait déjà dans la porte d'entrée ouverte. Elle m'a fait signe d’entrer, et derrière la maison nous nous sommes assis à l'ombre sous la pergola. Je n'ai rien bu à ce moment-là. Quand je me suis assis en face d'elle, j'ai remarqué à ma grande surprise qu'elle avait entre-temps enfilé une robe sexy avec un grand décolleté dans lequel la moitié de ses seins était bien visible, car elle ne portait plus de soutien-gorge. Mais c'est devenu encore plus spectaculaire : elle a écarté ses jambes, je suppose exprès, et j'ai remarqué qu'elle ne portait pas de culotte non plus. Elle avait beaucoup de poils pubiens qui cachaient partiellement sa chatte. Ses poils étaient de la même couleur foncée que les cheveux sur sa tête. Inutile de dire que j'ai eu une érection à la demi-minute après. J'ai essayé de croiser mes jambes pour cacher le gonflement dans mon pantalon, mais je n'y arrivais vraiment pas. Tante Prudence l'avait certainement remarqué aussi. Elle a souri doucement et a dit :

 

Nous n'allons pas rester ici, il y a trop de vent pour moi. A l'étage, j'ai une chambre sous les combles avec un petit bar. J'utilise cet espace quand je veux vraiment être seule ou me reposer. J'y médite aussi. Allez, c'est là qu'on va."

 

Je ne savais pas ce qui allait se passer. Ça avait l'air excitant en tout cas. Alors, j'ai aimé monter les escaliers derrière tante Prudence et j’ai essayé de regarder sous sa jupe pour voir sa chatte de plus près. Je n’ai pas pu voir beaucoup, seulement l’ombre des poils qui cachaient sa foufoune.

 

Une fois dans cette pièce, j'ai regardé autour de moi. Elle était très peu meublée. Il y avait un petit bar au mur avec un petit lavabo à côté, une table avec quatre chaises et aussi un lit en fer. Au mur au-dessus de ce lit se trouvait une seule gravure représentant un gros Bouddha. Sinon, il n'y avait pas d'autre décoration dans la chambre. Je ne savais pas ce qu'était la méditation à l'époque, mais maintenant, je crois bien que cet espace y convenait. Je n'y ai pas médité, mais j'ai fait autre chose pendant six ou sept semaines.

 

La tante de Cynthia ne m'a pas demandé ce que je voulais boire. Elle m’a versé un verre de vin rouge. Je n'en avais jamais bu, mais il était vraiment bon.

 

"Détends-toi, détends-toi," m’a dit la dame. “J'aimerais vraiment te parler sérieusement. Tu devras garder pour toi ce que je vais te dire. Cela doit rester entre nous."

 

Elle m'a traité comme un égal, comme un adulte. J'étais fier.

 

"Cynthia... Tu es fou d’elle, n'est-ce pas?"

 

Je ne pouvais pas le nier.

 

Et tu veux coucher avec elle. C'est normal si l’on est fou de quelqu'un. Mais à votre âge, le tien et celui de Cynthia... il y a trop de risques. Comprends-tu cela?"

 

Voilà. Elle a dit la même chose que Cynthia.

 

Ma nièce a seize ans. Imagine que tu la baises… Elle pourrait tomber enceinte... Et alors?"

 

Que je voulais bien baiser Cynthia avec un préservatif sur ma bite, je ne l'ai pas dit à sa tante.

Un silence est tombé. Nous étions assis là dans cette petite salle de méditation à la table en face l’un de l'autre, à nous regarder. Je n'ai rien dit et j'ai attendu. À un moment donné, la tante s'est levée. Elle est allée au bar, a pris la bouteille et m'a versé un deuxième verre de vin.

 

"Tu dois m’excuser, Vic," a-t-elle dit. “Je vais à la salle de bain maintenant. Je reviens dans un instant. Détends-toi. "

 

Me détendre m’était difficile. C'est pourquoi j'ai bu une gorgée de vin. Cela m'a fait du bien et je me sentais déjà mieux, quoique un peu assoupi.

Quelques minutes plus tard, la porte de la chambre de méditation s'est ouverte à nouveau. J'ai failli faire un arrêt cardiaque: la tante de Cynthia se tenait là devant moi toute nue. Elle s'était déshabillée dans la salle de bain. Elle a soulevé ses tettes nues pour me les montrer dans toute leur beauté, car belles, elles l’étaient! Dans toute sa magnificence, toute nue, elle se tenait là devant moi avec un flacon à la main. Il y avait un sourire ironique sur son visage, comme elle avait remarqué que j'étais vraiment perplexe.

 

Eh bien, tu voulais vraiment baiser, non? Tu ne devrais même pas y penser de le faire avec Cynthia, mais tu peux le faire avec moi," m’a-t-elle offert. “Qu'attends-tu? Déshabille-toi. Viens chez la tante. On va se coucher sur le lit et on passera un bon moment ensemble."

 

J'ai fait automatiquement ce qu'elle m'avait demandé. Avant de nous allonger, elle m'a emmené au lavabo et a soigneusement lavé ma bite raide.

 

"Eh bien, tu as un joli pénis pour ton âge," m’a-t-elle félicité. “Pas le plus long, mais plus gros et plus droit que la moyenne, et avec un beau gland. Il me rappelle un casque en acier allemand."

 

Je me suis allongé sur elle dans le lit de fer. Ma bite était sur le point d'exploser, tellement j'avais envie de la fourrer dans sa chatte et de commencer à pomper. Elle l'avait remarqué.

 

Alors, pas de préliminaires cette première fois. Aucun problème, viens auprès de tata Prudence, viens te soulager dans elle.” dit-elle en riant. “Mais quand même, attends un peu avant de me pénétrer. Quelque chose doit encore être fait, sinon tu me feras mal."

 

Elle a rapidement dévissé le bouchon de la bouteille et a mis un peu de lubrifiant sur sa main. Elle l'a frotté entre ses lèvres génitales. Puis elle a repris un peu d'huile avec l'intention de l'utiliser pour en enduire mon gland. Pour cela, elle a tiré le prépuce de ma bite en arrière. Tante Prudence n'aurait pas dû faire ça. Je ne savais plus me retenir et en rugissant, j'ai giclé mon sperme. J'ai tiré le premier jet en arc de cercle et il a atterri entre le nombril et les seins de Prudence. J'ai lâché le reste dans ses poils pubiens et un peu sur sa cuisse droite.

Cette fois, ce fut son tour d'être déconcertée:

 

"C'est dommage que je t’aie fait jouir de cette façon et si vite," a-t-elle dit. “Mais ton sperme, vraiment, tu en as éjaculé beaucoup. Je ne m'attendais pas à ce qu'un garçon comme toi en décharge une telle quantité. On ne doit plus s’étonner de rien…”

 

En riant, tandis que mon foutre coulait de son ventre, elle m'a pris par la main et m'a fait lever du lit avec elle. Elle m'a reconduit au lavabo. D'abord, elle a lavé mon pénis, puis elle a lavé mon sperme blanc laiteux de ses poils pubiens et de son ventre. Après cela, nous nous sommes rassis à la table. Elle a versé un autre verre de vin pour moi et pour elle-même aussi. La bouteille était presque vide ensuite.

C'était un spectacle étrange, nous, tous deux nus, assis face à face. Je me suis senti détendu après mon orgasme et j'ai dû sourire un peu à cause de la situation incroyable dans laquelle je me trouvais.

 

"Très bien, Vic, détends-toi," dit la tante de Cynthia. "Cela n'a pas marché la première fois, mais cela viendra, ne te tracasse pas."

 

Elle avait raison. Mes esprits sont revenus, et relativement vite. Après vingt minutes, ou peut-être une demi-heure, ma queue s’est redressée progressivement. Cela n'est pas allé vite, et je mentirais si je disais que mon gland gonflé a frappé le dessous de la table. Mais cela n'avait pas d'importance, ma bite était redevenue assez raide et j’avais à nouveau envie de baiser. La tante de Cynthia l'avait encore remarqué, et cette fois ça s'est bien passé. L'huile a été utilisée à nouveau, malgré le fait que j’ai embrassé la dame et que j’ai joué avec ses seins, tout comme je l'avais fait avec sa nièce. Bien sûr, les seins de sa tante étaient beaucoup plus gros, mais aussi beaucoup plus tendres que ceux de Cynthia, mais ils ne pendaient pas encore du tout à son âge. Cela m'a excité, et je les ai manipulés jusqu'à ce qu'elle enfonce prudemment ma bite raide de sa main dans sa fente huilée.

 

C'était ma toute première fois que je montais et descendais avec ma queue dans la chatte d'une femme, et c'était délicieux. J'ai dû pousser fort pour pénétrer plus profondément dans sa foufoune plutôt sèche, car l'huile n'a pas vraiment aidé. Mais comme cela a duré plus longtemps, peu à peu l’intérieur de sa vulve s’est ramolli. Ainsi, je suis parvenu à enfoncer ma bite entière jusqu'à mes testicules en elle. Il m'a fallu plus de temps que je n’avais pensé avant de tirer mon foutre dans son vagin chaud. C'était certainement parce que mon premier orgasme était tout récent.

 

Ce fut la première fois, mais pas la dernière, que j’ai sauté la tante de Cynthia. Après cette première fois, nous avons convenu que je viendrais à sa maison à la même heure chaque mercredi. A ce moment-là, Cynthia s'entraînait sur le court de tennis et nous ne serions dérangés par personne ni quoi que ce soit. Tante Prudence m'a quand même averti:

 

Je veux que tu prennes ton pied avec moi, mais je te le dis clairement: garde ta queue loin de Cynthia. Joue avec ses seins autant que tu le souhaites, mais ta bite, enfonce-la dans ma chatte et viens lâcher ton foutre dans tante Prudence.”

 

C'est arrivé comme ça. Si c’était six ou sept mercredis que je suis monté avec Prudence dans sa salle de méditation, je ne le sais plus exactement. Ce que je sais, c'est qu'entre-temps , le fait de pouvoir baiser une femme adulte a donné un coup de pouce à ma confiance en moi. Je n’avais plus honte de demander à une fille si je pouvais la sauter. Dans la plupart des cas, je l’avoue, j’essuyais un refus. Mais pas toujours. J'ai aussi eu un “oui” de trois ou quatre filles qui étaient juste un peu plus âgées que moi. Cynthia n'était pas parmi celles-là. Elle et moi nous sommes toujours embrassés, mais jouer avec ses petites tettes, je l’ai fait de moins en moins. J'ai fait ça avec les autres filles, et celles-ci m'ont aussi permis d’enfoncer ma queue dans leurs foufounes à cœur joie…

 

Un jeudi, la tante de Cindy m'a accueilli dans le hall de sa maison. Je pouvais voir sur son visage que c'était la fin de nos après-midis de baise bien huilée. Il en fut ainsi. Elle m'a embrassé en adieu après m'avoir dit qu'elle avait rencontré à un concert un homme de son âge avec qui elle voulait entamer une relation sérieuse.

 

"Vic, écoute-moi attentivement!" me dit-elle. “Ce qui s'est passé ici entre toi et moi doit rester entre ces quatre murs. N’en parle pas, à personne! Si je devais découvrir que tu ne gardes pas ta bouche fermée, je viendrai te trouver. J'ai encore un sac de clubs de golf que j’ai une fois gagné dans une tombola organisée par “Solidarité Chrétienne” à Jupille pour un but humanitaire. Si tu lâches juste un mot de ce que nous avons fait ici nous deux, je te jure que je viendrai te casser les bras et les jambes avec un fer de golf."

 

Donc, jusqu'à présent, j'ai toujours serré les mâchoires sur les premières fois où j'ai baisé une femme, il y a tant d'années maintenant. Et dire que ce fut la tante de ma première petite amie!

 

© Robur Quercus 2022

 

 


Submitted: February 24, 2022

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